Festival des 3 Continents | Critique : Height of the Wave

Nam Yeonsu, officier de police en instance de divorce, est transférée au bureau maritime d’une île. Elle y est accueillie par un dîner de bienvenue et le chef du village lui fait savoir qu’il attend l’approbation officielle de son île comme destination de choix pour les touristes. Cette nouvelle, comme le réalisera bientôt l’agente, agit comme un écran pour dissimuler la relation obscure entre les habitants, pour une très large majorité des hommes, et la jeune Yae-un, qui a grandi seule sur l’île depuis que ses parents ont péri en mer.

Height of the Wave
Corée du Sud, 2019
De Park Jung-Bum

Durée : 1h34

Sortie : –

Note :

Chronique express

Height of the Wave est le nouveau long métrage du Coréen Park Jung-Bum, auteur il y a quelques années du multi-primé (et à nos yeux assez épais) The Journals of Musan. Height of the Wave semble à première vue assez différent de ce drame social – et assez différent tout court à vrai dire. Le film paraît débuter à une dizaine de reprises pour changer de direction. Ce qui pourrait être une grande audace finit par être un défaut : particulièrement mal construit, Height of the Wave est peut-être l’un des films les plus confus de l’année. Et la comparaison faite par la présentation du Festival des 3 Continents avec le superbe Village des brumes de Im Kwon-Taek, si elle n’est pas hors de propos, est un peu écrasante…

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par Nicolas Bardot

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