Festival de Gérardmer | Critique : Blood Quantum

Les morts reviennent à la vie aux abords de la réserve micmaque de Red Crow, à l’exception des habitants autochtones qui semblent immunisés contre cette épidémie. Devant la menace grandissante, Traylor, le shérif de la communauté, doit protéger la petite-amie enceinte de son fils et les habitants de la réserve, mais aussi gérer la vague de réfugiés blancs qui viennent se mettre à l’abri…

Blood Quantum
Canada, 2019
De Jeff Barnaby

Durée : 1h36

Sortie : –

Note :

Chronique express

Hormis entre les mains de quelques maîtres, le film de zombies n’est peut-être pas le genre horrifique qui permet le plus de variantes radicales – on a vu des ribambelles des films du genre se limiter à un shoot’em up. Pourquoi pas ? Mais mou (ce qui est n’est pas la même chose que lent), sans personnalité, sans fun ni savoir-faire, Blood Quantum nous a semblé être un vague nuage de grisaille en dtv. Le film est de plus en plus illisible, tant dans sa mise en scène de l’action que l’articulation de son récit. Et le sous-texte politique parmi les Amérindiens reste très timoré. A nos yeux, une occasion manquée.

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par Nicolas Bardot

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