Meurs, monstre, meurs est le nouveau long métrage du réalisateur argentin Alejandro Fadel (lire notre entretien). Dévoilé au Festival de Cannes l’an passé dans la section Un Certain Regard et sélectionné en début d’année au Festival du Film Fantastique de Gérardmer et la semaine passée à Cinélatino, cet ovni horrifique jubilatoire arrive dans les salles françaises le 15 mai.
Le pitch : dans une région reculée de la Cordillère des Andes, le corps d’une femme est retrouvé décapité. L’officier de police rurale Cruz mène l’enquête. David, le mari de Francisca, amante de Cruz, est vite le principal suspect. Envoyé en hôpital psychiatrique, il y incrimine sans cesse les apparitions brutales et inexplicables d’un Monstre. Dès lors, Cruz s’entête sur une mystérieuse théorie impliquant des notions géométriques, les déplacements d’une bande de motards, et une voix intérieure, obsédante, qui répète comme un mantra : “Meurs, Monstre, Meurs”…
Nous vous disons tout le bien qu’on pense du long métrage dans notre critique. Sa belle et mystérieuse affiche a été dévoilée, découvrez-la ci-dessous.
Nicolas Bardot